Hillsborough River State Park

J’aimerais commencer ce blogue en parlant bibittes… 

Ce matin, en déconnectant le  fil électrique, sur la boite,  la  déplaisante s’y trouvait…  Elle était, lavenimeuse, à la même place que lorsque nous sommes arrivés il y a 48 heures.  Je commence à connaître sa stratégie: elle s’installe pour harponner les nouveaux venus qui  n’ont pas encore eu le temps de lire la notice  imprimée et affichée sur la porte des toilettes par le Ranger engagé.  Toute la jungle est là pour elle.  Pourquoi ne pas s’y balader  de lianes en  lianes, de souches en souches?  Non.  Elle préfère , la malfaisante, harceler et apeurer les pauvres humains en quête de chaleur et tranquilité.  Elle veut,  la rouge coiffée, empoisonner, terrifier.  Dans quel but?  Aucun… Ses desseins, tout comme ceux de celui que vous connaissez, sont IMPÉNÉTRABLES.

C’EST DE CELLE-CI QU’IL FAUT SE MÉFIER!

Deux heures de route nous ont mené, via quelques routes de campagne et un peu d’autoroute au Hillsborough River State Park.  

En empruntant la sortie 14 de l’autoroute 4, on réalise qu’on est à 15 minutes de chez notre amie France qu’on visitera « officiellement » à la fin du mois.

Aurait-on pu arriver à l’improviste?  Ben non… quand les gens sont en Floride… faut surtout pas arriver à l’improviste… on ne sait jamais!!!!

On s’installe, prend une petite marche avec Hunter, on dîne.. 

Les vélos nous attendent pour le tour de camping et  une courte randonnée pédestre sera intégrée à l’activité nécessaire aux personnes en perte de jeunesse…

On (pas nous… des gens en autorité… probablement des Rangers..) 

met le feu au sous-bois… pour contrôler la végétation et éviter des feux spontannés.

Ça flambe devant nous.



Le long de la rivière

(Randonnée pédestre)



Toujours la randonnée pédestre



Jacques, heureux de bouger un peu



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Oh les alligators, les gens aiment les alligators, ils sont une curiosité un peu hors du temps…



De kayakistes… pas loin de l’alligator… 

(Non merci…on laisse ça à Gilles et Diane!)



La jungle c’est tourment.



Mon dieu!  Il est maintenant seul… 

OUfff… c’en est un autre!

Tracé de nos deux randonnées 

Au retour, deux appels téléphoniques, un de Linda et l’autre de France.  Des rendez-vous sont pris!

18h45, le poulet parmigiana est avalé… ( ça manque de croustillant lorsque ç’est décongelé…)

Bonne nuit!